- pare-brise
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pare-brise [ parbriz ] n. m. VAR. parebrise ♦ Paroi transparente à l'avant d'un véhicule pour protéger les occupants de l'air, du vent, des poussières. — Vitre avant d'une automobile. Pare-brise feuilleté. Essuie-glace du pare-brise. Des pare-brise, des parebrises.
● pare-brise nom masculin invariable Plaque de verre de sécurité ou de matière plastique placée à l'avant de l'habitacle d'un véhicule et qui permet la visibilité à l'avant tout en assurant la protection des passagers.pare-brisen. m. inv. Plaque de matière transparente située à l'avant d'un véhicule pour protéger les passagers du vent, des intempéries, des projections de gravillons.⇒PARE-BRISE, subst. masc. inv.Paroi transparente à l'avant d'un véhicule permettant la visibilité tout en assurant la protection du conducteur et des passagers des inconvénients dus au déplacement d'air, des projections et des poussières, notamment à grande vitesse. À bord des avions découverts, par mauvais temps, on s'inclinait hors du pare-brise, pour mieux voir, et les gifles de vent sifflaient longtemps dans les oreilles (SAINT-EXUP., Terre hommes, 1939, p.142). Sur tous les pare-brise maintenant, les essuie-glaces frottaient leur éventail (BUTOR, Modif., 1957, p.60).Prononc. et Orth.:[
]. Ac. 1935, ROB., Lar. Lang. fr.: un, des pare-brise. Prop. CATACH-GOLF. Orth. Lexicogr. Mots comp. 1981, p.250: un pare-brise, plur. des pare-brises. V. pare-. Étymol. et Hist. 1908, mai (Lar. mens., p.246a). Comp. de la forme pare de parer2 et de brise. Fréq. abs. littér.:17. Bbg. BALL (R. V.). Nouv. dat. pour le vocab. de l'automob. Fr. mod. 1975, t.43, p.52.pare-brise [paʀbʀiz] n. m. invar.ÉTYM. 1907; de pare-, et brise.❖♦ Paroi transparente à l'avant d'un véhicule (automobile, avion…) pour protéger les occupants de l'air, du vent, des poussières. — Vitre avant d'une automobile.1 Mais les voitures toutes modernes, comme celle de Mareil (…) étaient munies d'un pare-brise. Si bien que les lunettes (…) n'étaient plus qu'un accessoire de secours, pour les jours de poussière ou de grand vent (…)J. Romains, les Hommes de bonne volonté, t. VIII, XXIV, p. 245.2 Un bruit sec : une pierre, comme lancée par une invisible fronde, atteint le pare-brise qui se craquelle, puis se rompt.F. Mauriac, le Nouveau Bloc-notes 1958-1960, p. 374.3 Il reste un instant assis sur le siège froid, les mains posées sur le volant, et il regarde le parking, et les arbres à travers le grand pare-brise. Le haut du pare-brise est teinté de vert émeraude, et ça fait une drôle de lueur dans le ciel blanc, quand on bouge la tête.J.-M. G. Le Clézio, Désert, p. 368.4 (…) je ne suis pas de ces conducteurs qui, au moindre embarras du trafic, à l'heure de pointe, sombrent dans l'hystérie (…) Derrière le pare-brise où jouent les reflets du soleil, ils se noient entre deux eaux comme des poissons qu'auraient rendus fous les parois de leur aquarium.Pierre Mertens, Nécrologies, « Tombeau pour Dave Brubeck », p. 27.
Encyclopédie Universelle. 2012.
